Bonne année à tous! Nous arrivons déjà à la fin de la deuxième décennie. Et pourtant, le passage à l’an 2000, c’était hier… Nous vieillissons doucement mais sûrement, contrairement à notre beau lac, qualifié par les acteurs environnementaux de lac jeune et en parfaite santé! Cet état de fait est principalement dû aux efforts de chacun d’entre nous pour le garder en santé mais également aux efforts de ceux qui ont créé l’Association pour la Protection de l’environnement du lac Sauvage (APELS). Presque 50 ans plus tard, nous sommes encore plus conscients et soucieux des impacts de nos actions sur celui-ci. C’est pourquoi nous devons tous ensemble continuer le travail entrepris.
L’année 2018 fut occupée à plusieurs égards. Au niveau de l’environnement, l’APELS a mis l’emphase sur la protection du lac à l’encontre des plantes envahissantes, principalement le myriophylle à épi. Il ne s’agit pas d’une priorité passagère et nous devons, chacun de nous, maintenir notre garde et poursuivre nos efforts. Par ailleurs, l’identification et l’inventaire des plantes aquatiques de même que les différentes analyses effectuées ont révélé un lac en santé qui ferait l’envie de plusieurs. Je vous invite d’ailleurs à consulter notre site internet (http://www.apels.ca) pour de plus amples informations sur les analyses d’eau. Le rapport sur l’identification des plantes, en voie de préparation par le CRE Laurentides, devrait être disponible prochainement. J’ai par ailleurs travaillé, par l’intermédiaire du Comité consultatif en environnement (CCE) de la municipalité, sur le contrôle des bateaux à propulsion électrique de forte puissance. Vous pourrez lire, plus loin dans la présente édition, un article sur ce sujet.
L’année 2018 marqua aussi la conclusion du dossier pour un meilleur accès à l’internet et l’entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation de la municipalité sur les locations de résidence à court terme. Celle-ci s’assure maintenant d’une meilleure protection des lacs et de la quiétude de ses résidents. Les travaux d’Hydro-Québec ont eu, quant à eux, des conséquences importantes à plusieurs niveaux pour les résidents, sans oublier les répercussions sur l’état de la route. Enfin, nos toujours populaires activités annuelles du Méchoui et de la Traversée du Lac Sauvage ont, encore cette année, fait l’objet d’une bonne participation des résidents permanents et villégiateurs.
En 2019, l’APELS continuera son suivi au niveau de l’environnement qui nous entoure et comme il fut discuté lors de la dernière assemblée annuelle, nous considérons les options d’ensemencement et le projet d’installation d’une frayère. Une mise à jour sur ces sujets sera effectuée à la prochaine rencontre annuelle. En ce qui concerne l’état de la route, la municipalité continue ses négociations avec Hydro-Québec relativement à une compensation monétaire pour les dommages causés. Nous suivons ce dossier de très près ainsi que les décisions qui seront ensuite prises pour la réfection de la route. Notre objectif est la réfection complète de la route ceinturant notre lac.
Vous trouverez également un article sur la coupe de bois qui s’effectue autour du Lac dans la présente édition.
En conclusion, nous tenons à remercier tout spécialement Denis Dubois pour le déblaiement d’un anneau tout autour du lac pendant la période des Fêtes ainsi que Denis Grandmaison pour la préparation des sentiers d’hiver.
Micheline Van-Erum
L’année 2018 fut occupée à plusieurs égards. Au niveau de l’environnement, l’APELS a mis l’emphase sur la protection du lac à l’encontre des plantes envahissantes, principalement le myriophylle à épi. Il ne s’agit pas d’une priorité passagère et nous devons, chacun de nous, maintenir notre garde et poursuivre nos efforts. Par ailleurs, l’identification et l’inventaire des plantes aquatiques de même que les différentes analyses effectuées ont révélé un lac en santé qui ferait l’envie de plusieurs. Je vous invite d’ailleurs à consulter notre site internet (http://www.apels.ca) pour de plus amples informations sur les analyses d’eau. Le rapport sur l’identification des plantes, en voie de préparation par le CRE Laurentides, devrait être disponible prochainement. J’ai par ailleurs travaillé, par l’intermédiaire du Comité consultatif en environnement (CCE) de la municipalité, sur le contrôle des bateaux à propulsion électrique de forte puissance. Vous pourrez lire, plus loin dans la présente édition, un article sur ce sujet.
L’année 2018 marqua aussi la conclusion du dossier pour un meilleur accès à l’internet et l’entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation de la municipalité sur les locations de résidence à court terme. Celle-ci s’assure maintenant d’une meilleure protection des lacs et de la quiétude de ses résidents. Les travaux d’Hydro-Québec ont eu, quant à eux, des conséquences importantes à plusieurs niveaux pour les résidents, sans oublier les répercussions sur l’état de la route. Enfin, nos toujours populaires activités annuelles du Méchoui et de la Traversée du Lac Sauvage ont, encore cette année, fait l’objet d’une bonne participation des résidents permanents et villégiateurs.
En 2019, l’APELS continuera son suivi au niveau de l’environnement qui nous entoure et comme il fut discuté lors de la dernière assemblée annuelle, nous considérons les options d’ensemencement et le projet d’installation d’une frayère. Une mise à jour sur ces sujets sera effectuée à la prochaine rencontre annuelle. En ce qui concerne l’état de la route, la municipalité continue ses négociations avec Hydro-Québec relativement à une compensation monétaire pour les dommages causés. Nous suivons ce dossier de très près ainsi que les décisions qui seront ensuite prises pour la réfection de la route. Notre objectif est la réfection complète de la route ceinturant notre lac.
Vous trouverez également un article sur la coupe de bois qui s’effectue autour du Lac dans la présente édition.
En conclusion, nous tenons à remercier tout spécialement Denis Dubois pour le déblaiement d’un anneau tout autour du lac pendant la période des Fêtes ainsi que Denis Grandmaison pour la préparation des sentiers d’hiver.
Micheline Van-Erum